Une rencontre BDSM entre filles

Catégories : Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 4 ans

Ce vendredi a été difficile, beaucoup de travail, le stress des embouteillages… Je suis contente d’être enfin chez moi. Je me mets à mon aise, c’est-à-dire que je suis en t-shirt. Simplement en t-shirt, avec rien dessous. Comme d’habitude, il n’y a rien à la télé. Je me connecte donc sur le net, espérant discuter avec une amie. Peine perdue, pas de message, personne n’est connecté. Comme toujours, il y a une vingtaine de demande de connexion, principalement des hommes attirés par mes photos un peu sexy et les pages auxquelles je me suis référencée.

Mais les hommes ne m’intéressent pas…

Dans le paquet, je remarque le profil féminin de Magali, que je m’empresse d’accepter. Je vais voir ses photos, et je découvre une superbe jeune femme, cheveux noir jais, habillée… ou plutôt déshabillée de cuir.

Quelques click sur «j’aime», et je laisse un message exprimant mon admiration devant sa beauté. Je vais ensuite lire son profil et je découvre avec plaisir qu’elle habite à seulement un vingtaine de kilomètres de chez moi. Je m’aperçois aussi que nous avons quelques gouts communs en matière de sexe. Déjà, je m’imagine près d’elle… et je sens une chaleur m’envahir. Ma main est déjà entre mes jambes. Je crois qu’une fois de plus, je vais passer la soirée à me masturber.

J’accepte et envoie quelques cadeaux un peu sexy a mes copines, je regarde quelques vidéos postées dans le groupe uro que je suis assidûment. Et tout à coup, la petite fenêtre du tchat s’ouvre dans le bas de l’écran et je reçois un message «Bonsoir. Tu es très jolie». Chance ! Ma nouvelle amie, Magali est connectée.

  • Bonsoir Magali. Toi aussi tu es très jolie, tes photos sont superbes, très érotiques.

  • Merci Julie. Il semble qu’on ait pas mal de choses en communs.

  • Effectivement. Tu es aussi lesbienne ?

  • Je suis plutôt bi, j’aime parfois m’occuper d’un homme. Mais je préfère les femmes.

  • J’ai vu que toi aussi tu aimes le BDSM. Tu es plutôt dominante ou soumise ?

  • Je peux être les deux, mais j’ai une nette préférence pour la domination. Et toi ?

  • En fait, moi je suis surtout maso, je n’apprécie pas trop les rôles, les déguisements et tout le cirque habituel des adeptes du BDSM.

  • Mmmm, ça me plait. Tu trouves donc ton plaisir dans la douleur ?

  • Oui, à condition que la douleur reste acceptable et ne laisse pas de marques…

  • Mais… je vois que nous habitons le même coin ! Je m’ennuie pas mal ce soir, ça te dirait qu’on aille boire un verre quelque part ?

  • Oui, avec plaisir, je dois t’avouer que je m’ennuyais un peu aussi… Mais je rentre du travail, laisse moi le temps de me doucher et de me préparer.

  • Non ! Si tu veux me voir, c’est de suite. Je veux que tu viennes telles que tu es.

  • Heu, telle que je suis, c’est impossible, je suis presque nue !

  • Tu as 15 minutes pour t’habiller et me rejoindre au bar Le Venus à Hagondange. Tu connais ?

  • Heu… oui je connais mais…

  • Pas de mais. J’y vais, ne me fait pas attendre.

Hé bien, moi qui avait peur de m’ennuyer ce soir… J’hésite quand même. Cette Magali semble très autoritaire. Pour me motiver, je retourne voir ces photos, et je découvre un nouvel album ou on la voir, à moitié nue, le fouet à la main… ou occupée à poser des pinces sur les seins d’une jeune fille. Ca m’excite terriblement mais ça me fait aussi un peu peur. Bah, une rencontre dans un bar ou il y a toujours autant de monde, ce n’est pas bien dangereux. Je m’habille rapidement d’une petite jupe en cuir noir, d’un top sans manche et assez décolleté pour laisser apparaître mes seins nus si je me penche fort.

Je mets des escarpins à haut talons, et me voila en route… la peur au ventre mais la chatte déjà humide. Je me gare dans le parking, pas encore plein a cette heure et je rentre, cherchant des yeux cette Magali qui me fait faire cette folie. Ne la voyant pas, je m’assois au bar et commande un daiquiri. Je vérifie : oui, je suis à l’heure. M’aurait elle poser un lapin ? Me serais-je fait berner par un des innombrables fakes qui pullulent sur Facebook ?

Tout à coup, je sens une main se poser sur ma cuisse et une voix féminine mais un peu rauque murmure à mon oreille : «Tu es encore plus désirable que sur tes photos.» Je me retourne et découvre une superbe femme, habillée d’un long manteau de cuir noir. «Magali je suppose ?»

«On ne peut rien te cacher ma belle…» me répond elle d’un petit ton ironique. Ses yeux me détaille, m’évalue… j’ai l’impression d’être nue. Elle s’approche tout près de moi, tellement près que je sens son souffle sur mon visage. «Je n’ai vraiment pas envie de perdre du temps ici. Si on allait directement chez moi ? A moins que tu n’aies peur…»

En disant cela, son manteau s’est légèrement entrouvert et je découvre qu’il n’y a pas grand-chose dessous. Un soutien-gorge noir en dentelle, un string, un porte-jarretelle, des bas noirs… Elle est terriblement provocante. Sa main caresse ma cuisse, remontant légèrement sous ma jupe. Son regard est fiché dans le mien. Je suis subjuguée et je m’entends répondre : «Je te suis.»

Nous sortons du bar et elle m’entraîne vers sa voiture. «Je te ramènerai quand j’en aurai fini avec toi ma belle. De toute façon je n’habite pas très loin.» Je me sens incapable de lui résister. Je monte a coté d’elle. Avant de démarrer, elle se penche vers moi et pose ses lèvres sur les miennes. Sa bouche est douce, j’entrouvre les lèvres et nos langues se rejoignent. Sa main s’est à nouveau posée sur ma cuisse mais elle est remontée nettement plus haut.

J’écarte un peu les jambes et sa main effleure mon pubis. «Tu es déjà domptée ?» me dit-elle avec un sourire. «Bien, tu es épilée. Sinon, je t’aurais jetée hors de la voiture !» Et me laissant pantelante, elle démarre. Nous arrivons bientôt devant une belle maison en peu en dehors de la ville. Nous sortons de la voiture, et arrivées devant la porte, elle me dit «Ici commencent les choses sérieuses. Je vais d’abord te bander les yeux.

Si tu as peur, c’est maintenant que tu peux encore renoncer à la superbe nuit qui t’attends. Une fois à l’intérieur, ce sera trop tard !» Je saisis son bandeau et le passe moi-même devant mes yeux. Elle le noue, puis sans même me faire entrer, m’enlève mon top. Je sens qu’elle presse son corps contre moi et elle m’embrasse longuement, passionnément. Sa langue fouille ma bouche, ses mains explorent déjà mon corps. Ensuite, elle me pousse à l’intérieur et me guide.

Nous montons un escalier… j’entends qu’elle ouvre une porte. Nous faisons quelques pas. Elle m’ôte mon string, m’écarte légèrement les jambes, et je sens qu’elle attache mes pieds. Puis elle me fait lever les bras au dessus de la tête et attache mes mains… Je suis nue, attachée en croix… et complètement à sa merci. Mon imagination commence à travailler. Si je m’étais livrée à une folle… qu’allait-elle me faire…

Je sens à nouveau son corps chaud contre le mien. Sa poitrine est nue également. Elle me chuchote de ne pas avoir peur, que tout ce qui l’intéresse, c’est mon plaisir. Je sens ses mains s’activer partout sur moi tandis qu’elle m’embrasse. Une main me caresse les fesses, l’autre est déjà sur mon sexe, un doigt passant lentement entre mes lèvres.

Sa bouche descend sur mes seins, qu’elle me lèche, puis elle saisit un mamelon entre ses lèvres et le pince. Puis elle le mord. Fort. Je sens une douleur, mais sa caresse se refait plus douce. Sans difficulté, elle pénètre d’un doigt mon sexe déjà très humide. A nouveau une morsure sur mon mamelon. Encore plus fort, je pousse un petit cri. Elle s’écarte et me dit : «Tu cries déjà ? Me serais-je trompée sur ton compte ? Nous allons voir…»

Je l’entends faire quelques pas, puis je sens une pression sur mes mamelons. Ce ne sont plus ses dents, mais probablement des pinces. «Je vais régler la pression» me dit-elle. Et voilà qu’elle serre, de plus en plus. La douleur devient forte, mais je me retiens de crier. Tout à coup, je sens quelque chose me pénétrer, profondément. Puis vibrer. C’est bon… Mais voila que la pression des pinces se fait à nouveau plus forte.

La douleur revient, irradie mes seins, mon corps. En même temps, le vibro bouge en moi, provoquant des vagues de plaisirs. Mes jambes tremblent un peu, je voudrais m’asseoir mais je ne peux me relâcher, sinon les cordes tirent trop sur mes poignets et me font mal aussi. Je sens alors ses mains sur mes fesses à nouveau. Un doigt très humide passe dans ma raie et s’attarde sur mon petit trou. Puis s’y enfonce. Je halète…

Un second doigt vient rejoindre le premier et entame un mouvement de va et vient dans mon fondement. D’un même mouvement, parfaitement synchronisé, elle active le vibro dans ma chatte. Le plaisir monte, la jouissance ne va pas tarder. Lorsque brutalement, tout s’arrête, Magali a sorti ses doigts de mon cul et le vibro de mon sexe. Je reste la, dans l’attente, sentant à nouveau une sourde douleur dans mes seins. Des doigts se pressent dans ma bouche, je les suce, je goûte alors qu’ils sortent de mon cul…

Soudain, une sensation de froid intense… des glaçons passent sur mon corps, sur mes seins, sur mon ventre. Puis une brûlure sur mon ventre. Et sur mes seins ! Je ne peux m’empêcher de crier.

«Tu ne supportes pas la cire chaude ?» me dit Magali. «Je vais devoir te punir pour ce cri».

Aussitôt je sens la douleur sur mes mamelons augmenter encore : des poids sont venus s’ajouter aux pinces. Je me mords les lèvres pour ne pas crier. «Tu vas maintenant sentir la morsure du fouet !» me dit Magali d’un ton brutal. «Non, s’il te plait, pas ça. Je ne joue plus la, tu vas trop loin.»

Peine perdue, un claquement et je sens un coup sur mon ventre, puis un autre, puis encore un… Un autre arrive juste à la naissance de mes seins, et m’arrache un hurlement. Il semble que ce cri déchaîne encore plus ma t o r t i o n n a i r e, les coups redoubles, touchant mes seins, mon ventre, mes jambes… puis elle s’arrête et viens se coller contre moi.

A nouveau elle m’embrasse, doucement, tendrement, en me murmurant des mots doux à l’oreille. «Ma pauvre chérie, je vais m’occuper de toi…» Elle descend doucement le long de mon corps et agenouillée devant moi, Magali vient lécher ma chatte, titiller mon clitoris de sa langue experte.

A nouveau, je sens des doigts pénétrer ma chatte, d’autres s’enfoncer dans mon cul. Et la douleur fait place au plaisir… qui monte, par vague. Je gémi doucement. Ses deux doigts dans mon cul accélèrent le mouvement, et c’est maintenant toute sa main qu’elle essaye d’entrer en moi. J’avance mon bassin à la rencontre de cette main que je veux sentir…

Magali f o r c e un peu, je ne sens même pas cette douleur qui semble insignifiante par rapport à ce qu’elle m’a fait subir auparavant. Au contraire, je ressens un plaisir intense à être ainsi pénétrée, à sentir ses doigts bouger au fond de moi. Je suis pleine de ses doigts, de sa main… mes gémissements se font plus fort, se transforment en râle. Puis en un long cri quand un puissant orgasme me prend. Tellement puissant que j’éjacule. C’est la première fois que cela m’arrive.

Très vite, Magali me détache et m’aide à m’allonger, car je n’en peu plus. Elle enlève doucement les pinces de mes seins et je sens qu’elle passe un produit sur moi, avec douceur et tendresse. «Ne t’inquiète pas, je n’ai pas laissé de trace. Je vais soigner ce magnifique corps.» me dit-elle. Enfin, elle enlève mon bandeau.

Il me faut un certain temps avant de reprendre complètement mes esprits. Je vois qu’effectivement, si mon corps est un peu rouge, il n’y a aucune marque.

  • «J’espère que tu as apprécié le traitement. Quand je vois l’orgasme que tu as eu, je pense que oui…» me dit-elle en souriant

  • J’ai toujours fantasmé sur les femmes fontaines sans jamais y être arrivé ni en avoir connue.

  • Oui, tu m’as arrosé de ton plaisir Julie. J’ai vraiment apprécié ça.

Magali est allongée à mes cotés, nue. Elle est superbe. J’ai repris mes esprits et j’ai bien l’intention de lui donner du plaisir également. Je me serre contre elle et l’embrasse tendrement, laissant mes mains, enfin libérées, parcourir son corps magnifique. Je la pousse un peu pour l’allonger sur le dos et vient me placer au-dessus d’elle, ma langue continuant à jouer avec la sienne. Je frotte mon corps meurtri contre le sien, j’ai envie de douceur maintenant. Lentement, ma bouche descend explorer sa poitrine. Elle a de petits seins mais avec de gros mamelons très durs, que je prends en bouche, pour les sucer.

J’insère une main entre nos corps pour atteindre son sexe qui est trempé. Sans attendre, je la pénètre de mes doigts et part à la recherche de son point G. Je l’entends soupirer de contentement. Ma bouche continue son exploration tout le long de son corps, descendant très lentement vers sa chatte imberbe. Lorsqu’elle atteint enfin son but, de mon autre main je décalotte son clitoris pour pouvoir plus facilement le happer entre mes lèvres, le mordiller, le lécher. J’aime le goût de sa cyprine.

J’attr a p e le vibro qu’elle avait utilisé sur moi et l’humidifie de ma salive. Magali plie les jambes et les écartent le plus possible pour me donner accès à son intimité. Elle soulève son bassin et j’en profite pour lui lécher son petit trou, et y faire entrer ma langue. En même temps, je fais doucement entrer le vibro dans sa chatte. Elle gémit… son bassin bouge au rythme de mes mouvements.

Je décide de changer de position, me retourne au dessus d’elle pour offrir mon sexe à sa bouche et nous entamons un 69 endiablé. Je sens sa langue s’activer sur moi. Je sors le vibro de son sexe et pour lui rendre la monnaie de sa pièce, le rentre brutalement dans son cul.

Sous l’effet de la douleur elle pousse un cri, qui se transforme en râle de plaisir quand elle sent mes doigts dans sa chatte et ma langue sur son clito. Les mouvements que j’imprime à mes doigts et au vibro sont maintenant très rapides, brutaux. Je la pénètre profondément. A ce rythme, sa jouissance arrive très vite… Je sens ses jambes trembler, ses gémissements se font plus fort, deviennent des petits cris. Et juste avant son orgasme, je laisse ma vessie se vider et je pisse dans sa bouche, sur son visage… Ses cris sont devenus un hurlement de plaisir. Tout son corps tremble sous l’effet d’un puissant orgasme…

Je me retourne et je vais lécher son visage trempé de mon urine que je crache dans sa bouche, mélangée à ma salive. Je lèche ses lèvres, ma langue recherche sa langue… Nous sommes épuisées, je me laisse retomber à ses cotés. «Alors Magali, tu as aussi aimé mon traitement ?»

Elle ne répond pas de suite, les yeux dans le vague, elle se lèche les lèvres, une main sur sa poitrine, l’autre sur son sexe, cherchant à apaiser le feu qui la dévore encore. Puis de sa voix rauque, elle me dit : «Je ne pense pas être en état de te ramener de suite à ta voiture. Si on se reposait d’abord un peu ?»

Je ne dis rien, mais je pense que la nuit va être longue…

Par Julie Hugs

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